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Wolfgang Amadeus Mozart Wikipédia

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Le jeune Mozart qui a parcouru l’Europe n’a plus d’autre horizon que Salzbourg. Cette perspective est rendue d’autant plus étouffante par l’avènement, le 22 juin 1772, du nouveau prince-archevêque Hieronymus von Colloredo-Mansfeld. Prince éclairé et progressiste par certains côtés, le prince-archevêque Colloredo, à la différence de son prédécesseur Schrattenbach, est entiché de musique italienne et bien décidé à mettre au pas les Mozart père et fils qu’il trouve arrogants et trop souvent absents. Son nouvel employeur lui impose la forme des pièces qu’il doit composer pour les cérémonies religieuses. À dix-sept ans, Mozart a du mal à accepter ces contraintes, et ses relations avec le prince-archevêque vont en se dégradant au cours des trois années qui suivent.https://drc-bettingoffersfinder.com/betting-sites/odibets

Selon le témoignage de ses contemporains, il est, au piano comme au violon, un virtuose. Il écrit dans tous les genres musicaux de son époque et excelle dans chacun d’eux. Il est reconnu qu’il porte à un level de perfection le concerto, la symphonie et la sonate, et qu’il est l’un des plus grands maîtres de l’opéra. Perpétuellement endetté automotive la famille dépense sans compter et mène grand prepare de vie, souvent malade, accablé de travail, Mozart s’épuise. En juillet 1791 un mystérieux inconnu (qui se révéla être le comte Walseeg-Strupach) lui commande un Requiem alors qu’il doit terminer l’opéra « La Clémenza di Tito », il travaille jours et nuits, mais privations et maladie auront raison de lui. Il meurt au petit matin du cinq décembre 1791 à l’âge de trente cinq ans sans avoir pu terminer son Requiem (que l’un de ses élèves, Franz Xaver Süssmayr complètera) et sera enterré à Vienne dans une fosse commune.

Son Œuvre

On a retrouvé le contrat entre le comte et Mozart selon le Dictionnaire Dermoncourt. Lors de ce séjour à Paris, sa mère Anna Maria tombe malade et meurt le three juillet 1778 rue du Gros-Chenet (actuellement au 8 rue du Sentier, où se trouve une plaque commémorative). Elle est inhumée à Paris après une messe à l’église Saint-Eustache, en présence de son fils qui signe le registre paroissial de cette église[n 3].

Jusqu’en 1785, il bénéficie d’une situation financière assez florissante avec des revenus annuels estimés, selon les années, entre 2000 et 6000 florins. À partir de 1786, il ne parvient pas à maintenir ses succès de pianiste à la mode et la composition d’opéras ne parvient pas à compenser ce manque à gagner. Probablement joueur, isolé en raison de son caractère difficile, « demeuré enfant » selon sa sœur Nannerl, Mozart est lourdement endetté. Le 9 novembre 1791, peu avant sa mort, il est condamné par le tribunal de Basse-Autriche (Landrechte) à rembourser 1435 florins avec mise sous séquestre de ses biens, au prince Karl von Lichnowsky qui lui a intenté un procès pour dettes à l’issue d’un voyage effectué en commun à Berlin en 1789.

Le jeune Mozart finit par quitter Salzbourg pour se chercher un autre poste, c’est à ce second qu’il tombera amoureux de la jeune cantatrice Aloysia Weber provoquant la colère de son père ( lui enjoignant de penser à sa carrière) qui l’envoie à Paris avec sa mère. Il ne trouva pas davantage de poste dans une France en crise, contracta des dettes et comble de malheur sa mère tomba malade et mourut. Matériellement, son voyage s’est soldé par un échec, mais il en est revenu très mûri sur le plan artistique et humain. En juin 1763, ayant obtenu un congé de son employeur, le prince-archevêque de Salzbourg, Léopold part avec sa femme, son fils et sa fille pour une grande tournée européenne (Allemagne, Bruxelles Paris, Londres, Hollande, Paris), qui durera jusqu’en novembre 1766. L’année 1768 est passée pour l’essentiel à Vienne, où Mozart compose l’opéra-bouffe La Finta semplice et le singspiel Bastien et Bastienne. De 1769 à 1773, Mozart et son père effectuent trois séjours en Italie, patrie de l’opéra, où est composé Ludo Sila (Milan, 1772).

Pétri des idées des Lumières, Mozart entre le 14 décembre 1784 en franc-maçonnerie dans la loge Zur Wohltätigkeit (la Bienfaisance), et accède au grade de maître, le 13 janvier 1785[18]. 620, qui serait une transcription de l’initiation à la franc-maçonnerie avec ses épreuves, son maître de cérémonie, la répétition de thèmes avec trois notes et une musique évoquant l’idéal maçonnique. Sur le trajet de son retour, il passe par Munich, où vit la famille Weber et où il apprend qu’Aloysia aime un autre homme. Après cette suite de déconvenues professionnelles et sentimentales, il arrive la mort dans l’âme à Salzbourg le 19 janvier 1779 et doit rentrer dans le rang. Le prince-archevêque Colloredo a daigné le reprendre à son service pour 450 florins par an. À son ancien poste de Konzertmeister, le contrat ajoute la fonction d’organiste à l’église, à la chapelle et à la cour, la formation des enfants de chœur et la composition de toute musique religieuse ou profane demandée par le prince.

Wolfgang Amadeus Mozart ou Johannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart[1] né le 27 janvier 1756 à Salzbourg (principauté archiépiscopale de Salzbourg) et mort le 5 décembre 1791 à Vienne est un compositeur autrichien de la période classique. Avec Joseph Haydn et Ludwig van Beethoven, il a porté à son apogée l’école classique viennoise. Le disque et les œuvres de fiction contribuent à faire de lui le plus populaire des compositeurs classiques. Il y passera les dix dernières années de sa vie comme compositeur indépendant. En Italie, Mozart étudie l’opéra, style musical dans lequel il excellera, mais découvre surtout la bouffonnerie et le travestissement des masques, la concision dense et la netteté du trait, le brio d’une vivacité jamais alourdie. La musique italienne l’instruit moins qu’elle ne le révèle à lui-même en libérant son tempérament des docilités de l’enfance.

À Bologne, le père Martini, érudit illustre, l’initie au vieux type sévère et le fait recevoir à l’Académie philharmonique qui n’admet en principe que des membres âgés de plus de vingt ans. Mozart a alors quatorze ans et c’est la dernière haute distinction qu’il recevra de sa vie. Mozart est un petit garçon émotif et tendre, joignant la plus attentive docilité à une spontanéité primesautière, avide de tout apprendre (les mathématiques) et racontant des histoires avec une imagination débordante. Il joue avec sa sœur Nannerl, de peu son aînée et bonne musicienne, et reçoit l’enseignement du remarquable pédagogue qu’est son père.

Il faut ajouter pour mieux comprendre la scenario de la fin de vie de Mozart qu’il ne connut pas le grand succès de son vivant. Joseph II appréciait Mozart, mais toutefois préférait, comme le public, les Italiens. À la différence de Mozart, Gluck bénéficia en 1787 d’obsèques solennelles et d’un enterrement dans une belle tombe avec une pierre distinctive à son nom, le tout Vienne musical étant présent. À Salzbourg, Léopold Mozart, père de Wolfgang, et Michael Haydn, frère du grand Haydn et ami de Mozart, ont bénéficié d’obsèques plus relevées avec tombe individuelle et cortège officiel.

À ce traitement, Mozart ajoute ses cours privés donnés à la noblesse ou à la bourgeoisie de Vienne, le fruit des concert events par souscription, qu’il organise et qu’il dirige et des gratifications pour chacun de ses opéras. Des opéras qui ne connaissent pas un grand succès selon Robbins Landon, la Cour et le public préférant l’opéra napolitain de Paisiello et Martin y Soler notamment, bien qu’il s’inspire de ce fashion dans la trilogie, mais à sa manière. Dans la capitale autrichienne, Mozart est reçu par plusieurs familles de la haute société, donne des leçons et se taille de francs succès comme pianiste. Son opéra allemand l’Enlèvement au sérail est créé en 1782, tandis qu’il mène à bien les trois premiers des dix-sept grands concertos pour piano de ses années viennoises. De juillet à octobre 1783, il séjourne pour la dernière fois à Salzbourg, où est entendue sa solennelle Messe en ut mineur, restée inachevée.

Wolfgang Amadeus Mozart

Trois enfants sont morts en bas âge, avant la naissance de sa sœur aînée Maria Anna (surnommée « Nannerl », née en 1751), et deux autres sont aussi morts de maladie entre la naissance de Nannerl et la sienne[5]. Souabe par son père, salzbourgeois par sa mère et sa naissance, Mozart ne se dira jamais autrichien ou bavarois, mais toujours allemand. Malgré sa rivalité,( il n’existe aucune preuve qu’il fut responsable de sa mort, comme le suggère Milos Forman dans son très beau film « Amadeus ») Antonio Salieri, fut l’une des rares personnes présente à l’enterrement de Mozart automobile il avait, de même que Haydn, reconnu son génie musical. L’Autriche considère Mozart comme l’un de ses enfants les plus illustres[n 8] bien qu’historiquement il soit né dans la principauté ecclésiastique de Salzbourg incluse alors dans le cercle de Bavière et non dans le cercle d’Autriche. En effet, Salzbourg ne devient autrichienne qu’en 1805 lors des guerres napoléoniennes. Mozart a fait la connaissance de la troisième fille de madame Weber, Constance, et décide de l’épouser, sans attendre le consentement écrit de son père qui en sera furieux.

  • Mozart tentera en vain d’obtenir le poste de Konzertmeister impérial, la fonction occupée par Gluck.
  • À Paris, Mozart espère trouver de l’aide auprès de Friedrich Melchior Grimm, qui s’était occupé de sa tournée lorsqu’il avait sept ans, mais sans succès ; l’homme de lettres lui reprochant « un manque de savoir-faire pour se mettre en valeur ».
  • Des opéras qui ne connaissent pas un grand succès selon Robbins Landon, la Cour et le public préférant l’opéra napolitain de Paisiello et Martin y Soler notamment, bien qu’il s’encourage de ce fashion dans la trilogie, mais à sa manière.
  • Le jeune musicien émerveille les cours et les souverains, les dilettantes et les curieux.
  • Comme Trèves, Cologne ou Mayence, Salzbourg est une principauté ecclésiastique du Saint-Empire, sous l’autorité d’un prince-archevêque, et rattachée au Cercle de Bavière.

On peut donc s’interroger sur la personnalité de Mozart et son possible rejet par l’aristocratie comme le fait le musicologue Robbins Landon au XXe siècle. D’autres musiciens que lui ont eu droit en effet à un traitement différent pour leurs obsèques, y compris avant 1791. Robbins Landon a recherché les raisons pour lesquelles Mozart n’avait pas été accepté par la société de Vienne, voire rejeté ; peut-être, dit-il, parce qu’il affichait ostensiblement son appartenance aux loges, alors qu’après 1789, le level de vue de l’aristocratie change à cet égard. Mozart, affaibli par la maladie et les privations, doit, en outre, faire face à une surcharge de travail, automobile il a reçu (début août) la commande d’un opéra (La Clemenza di Tito, KV. 621) pour le couronnement du roi de Bohême Léopold II, qu’il doit composer[20] en trois semaines. C’est cependant moins au génie en herbe qu’au virtuose que sa famille prend garde.

Au Service Du Prince-archevêque Colloredo (1773-

Mozart ne trouve pas non plus de poste qui lui convienne, et a même du mal à se faire payer ses leçons d’un noble qui le traite avec condescendance ; comportement des nobles en général qui marquera Mozart. Mozart naît le 27 janvier 1756 à eight heures du soir au numéro 9 de la Getreidegasse à Salzbourg[3]. Il est le fils de Léopold Mozart, musicien, compositeur et pédagogue originaire d’Augsbourg, ville libre d’Empire, qui occupe alors la fonction de vice-maître de chapelle à la cour du prince-archevêque de Salzbourg, et d’Anna Maria Pertl, sa femme[4], fille d’un fonctionnaire de la cour de Salzbourg.

En 1784 Mozart entre dans la Franc-maçonnerie pour laquelle il écrira plusieurs pièces dont la « Musique funèbre maçonnique » et la «  flûte enchantée » qui est une véritable description de l’initiation à la Franc-maçonnerie. Libéré des contraintes familiales et de celles de ses employeurs il peut donner libre courtroom à son immense et prolifique expertise  Il compose de nombreuses œuvres qui lui feront connaître un grand succès (sonates, symphonies, concertos, opéras, pièces de musique sacrée, sérénades). Son opéra Don Giovanni sera, à la suite du décès de son père en 1787, empreint d’une forte intensité dramatique. Dans les premiers temps de son installation à Vienne, tout semble favorable à Mozart. Il est reçu de façon très bienveillante par un sure nombre de mécènes nobles et par le public bourgeois des amateurs de musique.

De septembre 1777 à janvier 1779, Mozart visite Munich, Augsbourg, Mannheim et Paris en quête d’une state of affairs. Il fait également la rencontre de l’intellectuel Otto von Gemmingen qu’il retrouvera plus tard dans la franc-maçonnerie viennoise. Toutefois, ses démarches pour obtenir un poste restent là encore infructueuses. Il reçoit alors du directeur du théâtre de Prague, ville qui lui a fait fête, la commande d’un opéra pour la saison suivante. Mozart fait à nouveau appel à Lorenzo da Ponte librettiste à succès, pour créer le livret de Don Giovanni. Il s’inspire d’un opéra buffa italien de Gazzaniga produit à Venise sur un livret de Bertati quelques mois auparavant[19].

Il est cajolé et récompensé, parfois en espèces, mais plus souvent en bagues ou en montres, difficilement monnayables. Pour mieux éprouver sa virtuosité, on lui fait accomplir des prouesses comme jouer sur un clavier recouvert d’un drap. À Londres, le naturaliste Daines Barrington tente de montrer que Wolfgang n’est qu’une sorte de singe savant exhibé par son père devant la noblesse européenne et qu’il s’agit d’une supercherie, mais les épreuves auxquelles il soumet l’enfant révèlent qu’il est bien un prodige[13]. De nombreux portraits présumés de Mozart semblent avoir été effectués de seconde major, probablement sans voir le musicien ou bien rétrospectivement, après la mort du compositeur.

Dans les palais et les concerts publics qu’il organise à son bénéfice, il joue ses concertos, improvise au clavier et fait entendre ses symphonies. Il donne des leçons de piano et de composition, et reçoit chaque jour trois ou quatre élèves fortunés qui peuvent chacun lui rapporter 400 à 500 florins par an. Il vend à des éditeurs des sonates, de la musique de chambre, des quatuors.

Le mariage est célébré à Vienne le 4 août 1782 à la cathédrale Saint-Étienne. La démission écrite de Mozart ne parviendra jamais à Colloredo, pas plus que celui-ci ne congédiera officiellement Mozart. Ce qui marque la séparation définitive, ce sera le célèbre coup de pied que Mozart recevra, le 2 juin à la maison de l’Ordre teutonique à Vienne, de la half d’un intendant de la cour, le comte d’Arco.

Wolfgang Amadeus Mozart – Biographie Et Œuvres

La création, le 29 janvier 1781, de Idomeneo, re di Creta (Idoménée, roi de Crète), un opera seria dans la tradition de Gluck, est accueillie très favorablement par le public. Entre 1762 et 1766, le jeune Mozart entreprend le Grand Tour lors d’un long périple musical avec son père, employé par le prince-archevêque Sigismond de Schrattenbach, ainsi qu’avec sa sœur aînée Maria Anna, qu’il appelle Nannerl. Débute ensuite une période d’environ deux ans et demi qui est sans doute la plus lively et la plus heureuse de la carrière viennoise de Mozart.

De Retour Au Service Du Prince-archevêque Colloredo (1779-

Wolfgang est baptisé le lendemain de sa naissance dans une chapelle de la cathédrale Saint-Rupert de Salzbourg. Son acte de baptême porte les prénoms de Joannes Chrysost[omus][n 1] Wolfgangus[n 2] Theophilus. Theophilus, signifiant « aimé de Dieu », a des équivalents, allemand (Gottlieb, prénom que son père lui attribue un mois après sa naissance), italien et latin (Amedeo prénom adopté lors de son voyage en Italie en décembre 1769)[6]. Quelques décennies après la mort de Mozart, plusieurs tentatives ont été faites afin d’inventorier ses compositions. Toutefois, ce n’est qu’en 1862 que le musicologue autrichien Ludwig von Köchel achèvera un catalogue chronologique de 626 œuvres, qui fait, aujourd’hui encore, figure de référence. On peut dire de sa musique qu’elle a poussé la forme classique, la musique du XVIIIe siècle, à son paroxysme, avant l’avènement du romantisme, son génie est d’avoir mis toute la tendresse, toute la musicalité dans cette forme dite « classique ».

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Le tribunal ordonne à la chambre de la cour impériale, employeur de Mozart, de saisir la moitié du traitement annuel de 800 florins qui lui avait été accordé en 1787. En 1786, Mozart fait la connaissance du librettiste Lorenzo da Ponte, « poète impérial » à Vienne avec un rang directorial comparable à celui de Salieri directeur musical du Théâtre d’opéra impérial et kappelmeister. Da Ponte, alors bien en cour, contrairement à Mozart, convainc l’empereur d’autoriser la création d’un opéra basé sur Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais, alors qu’il avait fait auparavant interdire la pièce, jugée subversive. Mozart met en musique le livret de Lorenzo da Ponte, et la première de Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro) a lieu le 1er mai 1786 à Vienne. Son succès n’empêche pas son retrait rapide de l’affiche, l’œuvre mécontentant la noblesse viennoise.

Ce portrait de 1789 est considéré comme le dernier portrait connu de Mozart réalisé d’après le modèle vivant. En 1791, Emanuel Schikaneder, franc-maçon comme lui, mais d’une autre loge, directeur d’un petit théâtre populaire de la banlieue de Vienne, le Freihaustheater auf der Wieden, sollicite sa participation à un opéra populaire en allemand. Il en écrit le livret, et Mozart écrit la musique de son avant-dernier opéra, Die Zauberflöte (La Flûte enchantée). En novembre 1780, le prince-archevêque ne peut refuser à son domestique la commande d’un opéra par l’électeur de Bavière pour le prochain carnaval. Mozart se rend à Munich, comme son contrat l’y autorise, pour quatre mois de travail intense.

Il reçoit des gratifications pour les dédicaces de ses œuvres à des mécènes et la somme forfaitaire de 500 florins pour chaque nouvel opéra dont il peut exploiter le succès en réalisant des arrangements de certains airs pour divers devices. Le 7 décembre 1787, Joseph II, satisfait de Mozart, le nomme musicien de la chambre impériale et royale avec un traitement confortable de 800 florins par an. Mozart tentera en vain d’obtenir le poste de Konzertmeister impérial, la fonction occupée par Gluck.

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